Quel avenir pour le sport associatif ?

Quels sont les besoins et les attentes des acteurs du sport fédéral ? Le champ et le périmètre de notre communauté ont été très impactés par les crises récentes plurielles: informatique et sanitaire, économique et financière, politique et démocratique, issues en héritage de ces dernières années. Dans ce contexte délicat, voire incertain, comment créer des conditions favorables pour adapter nos projets et nos offres au futur de la société et aux attentes du public ?
Public jeune ou senior, valide ou non valide, des terres intérieures aux littoraux en passant par les territoires ultramarins. Quatre types d’évolutions ont vu le jour dans le mouvement sportif, une prospective pour le futur à venir extrait de l’étude nationale sur les attentes et besoins des acteurs du sport (mai 2022, CDES. – Agence du sport) :

1- La première tendance concerne les mutations de la demande sociale de pratique sportive. Avec une pratique croissante autonome hors mouvement sportif fédéré, avec une diversification des formes de pratiques orientées davantage vers le bien-être, la santé, la détente, l’épanouissement personnel. La crise sanitaire a clairement participé à accélérer le changement des habitudes. La gamification digitale des pratiques était déjà une orientation de fond (transposition des techniques de motivation du jeu dans un domaine pas ludique), les nouvelles générations utilisent et utiliseront davantage les outils digitaux dans leur pratique sportive. À nous de nous y investir… nos sciences participatives et nos projets d’e-leaming y contribuent.

2- La deuxième porte sur le développement de nouvelles offres en réponse aux problèmes de la société. Le sport doit chercher à s’adapter avec une offre la plus agile possible pour répondre aux attentes. Par ailleurs, le rapprochement du secteur sport avec celui de la santé, notamment du fait de la sédentarité de la population, est une priorité des politiques publiques. Près de la moitié des 11-17 ans passent environ 4h30 par jour devant les écrans pour moins de 20 minutes d’activité physique. La montée du stress subi dans le cadre professionnel contribue à une croissance du nombre de burn-out et de mal-être psychologique. Nos activités subaquatiques par leurs bienfaits reconnus en ce domaine ont un rôle à jouer. Encore faut-il le faire savoir aux médias et au grand public ! La stratégie nationale sport santé y trouve sa place malgré le retard pris en ce domaine. Le parasport (pratique des personnes en situation de handicap) fait l’objet de politiques volontaristes des pouvoirs publics.

3- La troisième porte sur le fait que le secteur répond de plus en plus à une logique économique. Historiquement le sport s’est fondé sur le fonctionnement amateur basé sur le bénévolat. Nous assistons au fil des années au développement d’une filière sportive professionnelle, dans la plupart des secteurs. D’où l’importance d’une réelle synergie entre le secteur marchand et le monde associatif. D’une part la filière économique du sport voit le développement de microentreprises qui ne peuvent vivre néanmoins pleinement de cette activité. D’autre part l’engagement bénévole doit rester au cœur des préoccupations du mouvement sportif. La nature de cet engagement a changé, il est devenu ponctuel. Accompagnement et valorisation sont les enjeux majeurs de ce monde associatif. De plus en plus d’acteurs s’interrogent sur l’opportunité de nouvelles formes juridiques balbutiantes dans le sport, telle la Société coopérative d’intérêt collectif (SCIC) pour donner plus de souplesse au développement des assos sportives. Sommes-nous à l’aube d’un changement de modèle ?

4- La dernière tendance est celle d’une contrainte environnementale croissante. Le sport de nature est à la fois victime et acteur de la dégradation de l’environnement. La massification de certaines pratiques sportives peut être pointée du doigt de plus en plus dans certains espaces naturels. L’adoption de la stratégie nationale de transition écologique et de développement durable du sport (2015-2020) et la Charte des 15 engagements écoresponsables du ministère des Sports ont permis à plusieurs fédérations sportives une relation plus cohérente avec la nature.

Article adapté de l’éditorial de Frédéric Di Meglio, Revue SUBAQUA #304

JFA – Salon des sports : MERCI

Merci à toutes les sections qui on relevé le défi en participant au salon des sports à la cantine 1 !

Merci aux sections qui ont fait un “plus” : Grands gagnants = Le golf avec sont “château gonflable” :-), mais bravos à toutes les sections présentes.

2481 personnes sont venues sur le centre ce jour là, dont une partie est passée devant nos stands.

Surtout l’objectif est atteint : renseigner des familles ou amis de salariés travaillant sur le site. Certains n’avaient aucune idée de notre existence comme association multisport.

Les bénévoles sur cette journée se sont vues remettre un chouette polo brodé, et l’UCAP nous a offert le repas à l’espace club.

Si vous avez des photos de l’évènement, merci de les transmettre au webmaster pour une mise en ligne ici.
En attendant, voici une photo du bureau de l’ASCEA (élargi) :

Des 5 éléments en petit comité…

Une bonne ambiance pour cette jolie manifestation organisée de main de maitre par François, notre cher Président du CNPM.
Les activités se sont déroulées comme prévu malgré une météo incertaine le samedi :


* Plongée les après-midi de vendredi et de dimanche ;
* Voile le samedi après-midi ;
* Randonnée le dimanche matin ;
* Escalade le dimanche matin.


OHANA est sorti le samedi, avec une initiation de 5 débutants plus ou moins aguerris.
Quelques explications de base, puis des manœuvres tranquilles sur une mer agitée ont permis aux équipiers de bien apprécier notre joli sport.
Samedi soir, une plancha haute en couleur de notre ami Michou avec un florilège d’accompagnements solides et liquides a pu avoir lieu avant l’orage dans une ambiance marine (!)
La section voile a tenu son engagement auprès du CNPM, c’est bien !
Thierry

Pourquoi je pédale ?

l’ASCEA CAdarache s’associe, bénévolement comme toujours, à la semaine de la mobilité.

Nos bénévole encadreront les “vélo tours” grâce à des vélos à assistance électrique.

C’est un tour “magique” car il permet d’accéder exceptionnellement à des points de vue auquels nous n’avons pas droit habituellement.

Pour compléter cet instant, je vous annonce la projection du Film “Why we bike”, à l’espace COM à côté du Restaurant 2, ce jeudi 22/09/22 à 11h15, en exclusivité en version française pour Cadarache. Elle sera suivie d’un débat/table ronde à 12h00 autour de la place du vélo dans les déplacements professionnels et quotidiens.

Cet évènement à lieu dans le cadre des Journées d’information de la Commission Transports du CSE de Cadarache. Elles sont organisées par le CSE, à destination de tous les salariés du site, avec la collaboration de la Direction du centre, du STL, de l’UCAP et en partenariat avec l’AS-CEA et l’ACC.

A noter aussi pour nos amis Cyclistes :

  • 11h, 13h au Départ du R2 : Vélotour découverte du CEA Cadarache en vélo à assistance électrique (compter 1h par le chemin de ronde) encadré par l’AS-CEA. Réservation : jauffrey.bachelas@orange.fr
  • Faites vérifier gratuitement votre vélo avec l’ADAVA (diagnostic, réglages, petites réparations, etc…)

Centre de Cadarache – Journées mobilité les 20 et 22 septembre (cea.fr)

Gilles, un des vélos “balais” 🙂